Dans l’épisode d’aujourd’hui, j’aborde plusieurs sujets différents : sur mes coulisses, la technique derrière le podcast et autres.

Listen to “023 | Miscellanées #2” on Spreaker.

Sujets abordés

  • la fermeture d’Opinion et les changements qui en découlent pour le podcast
  • je n’aime pas les gens taquins
  • les rencontres incongrues de gens aux sensibilités communes
  • pourquoi je considère l’écriture de manière professionnelle

La migration du podcast

Le service d’hébergement que j’ai utilisé jusqu’à présent, Opinion, est en train de fermer. J’ai donc migré vers un autre service (Spreaker). Il y aura peut-être des petits soucis techniques si vous êtes abonné.e aux Bulles Nomades sur iTunes. Faites moi part des soucis techniques que vous pourriez avoir, histoire que je puisse les corriger.

Les notes de chaque bulle ici

Chaque bulle dispose de notes écrites par ici, pour référence et pour les personnes qui préfèrent l’écrit que l’oral.

Pour les auditeurs qui ne lisent pas d’articles écrits, cela ne change rien, puisque toutes les informations sont transmises à l’oral. Pour vous, lecteurs et lectrices qui passez par ici, vous pouvez réagir directement en commentaire sous l’article, si c’est votre manière privilégiée de communiquer avec moi!

Miscellanées

Je n’aime pas les gens taquins : je ne sais pas comment leur dire que leurs taquineries me dérangent sans les vexer, d’autant que je sais que c’est pour eux un moyen de créer du lien social, et non quelque chose de mal intentionné. Mais le fait est que je tends à éviter les gens taquins parce que c’est inconfortable d’être l’objet de leurs taquineries. Si vous êtes à tendance taquine, comment dire sans vous vexer que ça me met mal à l’aise? Pour les autres, comment gérez-vous les gens taquins?

Se connecter avec des gens qui partagent nos valeurs ou intérêts : maintenant que mes valeurs et mes priorités sont claires, je me rends compte au fil des rencontres impromptues que d’autres personnes partagent ces valeurs et/ou loisirs et qu’on se retrouve en discutant, alors que je ne l’aurais pas cru en première impression. Et c’est rassurant de ne pas se sentir seul.e dans nos engagements, ça donne de l’espoir.

Je considère l’écriture comme un métier : en traitant mes activités d’autrice de manière professionnelle, je suis plus assidue, plus persévérante, et j’arrive à avoir davantage de recul sur les critiques que je peux recevoir sur mes textes, de manière à les utiliser pour m’améliorer. Peut-être que si vous avez un projet qui nécessite beaucoup de travail et génère des critiques, vous pourriez tenter le fait de le prendre comme une activité professionnelle, même si cela ne vous rapporte pas d’argent?

Ressources mentionnées

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